Un nouveau réseau de drogue démantelé à Rennes
Faits divers samedi 06 février 2010
Dans l’un des appartements perquisitionné, les policiers ont découvert 5 kg de résine de cannabis et 2 500 € en liquide. « Une quantité qui n’est pas révélatrice de l’ampleur du trafic » souligne un enquêteur.
Nouveau coup dur pour les trafiquants de drogue de la capitale bretonne. Mercredi dernier, à 6 h du matin, une centaine de policiers de la sûreté départementale, du groupe d’intervention régional, du groupe d’intervention de la police nationale ainsi que d’autres services ont interpellé, simultanément, 16 personnes dans plusieurs quartiers rennais dont celui de Maurepas. Le fruit d’une enquête de plus d’un an sur un réseau de trafic de cannabis et d’héroïne qui alimentait Rennes. Un réseau bâti comme une véritable entreprise avec son circuit d’approvisionnement, de stockage et de distribution. Sur les seize personnes interpellées, six ont été déférées cet après-midi devant le juge d’instruction. Deux ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire, trois écroués et un quatrième devrait également dormir en prison ce soir. À la tête de ce réseau, un homme d’une quarantaine d’années qui dirigeait « son entreprise » d’une manière digne d’un patron d’un cartel. Pressions, violences, menaces…
Besançon : Douze dealers devant la justice
6 février 2010
Douze dealers comparaissaient mercredi et jeudi devant le tribunal correctionnel de Besançon. Ces douze hommes ont officié sur le quartier Planoise durant un an et demi de janvier 2008 à mai 2009.
Au terme des délibérés, les douze prévenus, âgés de 20 à 30 ans, ont été condamnés à des peines de prison ferme, allant de neuf mois à quatre ans. Sept d’entre eux ont quitté le tribunal pour la maison d’arrêt.
On leur reproche la possession de quelques dizaines de cannabis et quelques centaines de grammes de cocaïne.
(Revue de presse : Source / Est Républicain)
Source : http://www.pleinair.net/detail_48_36657-Besancon-Douze-dealers-devant-la-justice.html
(Rivière du Lot) Ils filment la noyade : 8 ans de prison
6 février 2010
Quatre jeunes gens ont été condamnés hier à des peines de 8 ans de prison par la cour d’assises du Lot à Cahors, pour la mort en mars 2008 d’un jeune homme, Jonathan Boulanger, qui s’est noyé dans le Lot après avoir été poursuivi par les accusés pou un différend de 540 euros lié à un trafic de cannabis. Les accusés avaient filmé la scène avec un téléphone portable, sans tendre la main à la victime, ni appeler les secours.
/ PQR
(Tours) Les jeunes dealers se fournissaient à Orléans
Le 6 février 2010
Sept personnes ont comparu, jeudi, devant le tribunal correctionnel de Tours dans le cadre d’un trafic d’héroïne, de cannabis et de cocaïne.
C’est un trafic de stupéfiants local, aux formes mal définies, qui a été jugé, jeudi, par le tribunal correctionnel de Tours. Dans ce réseau, centré autour de Château-Renault, les sources d’approvisionnement étaient multiples, les échanges souvent mutuels entre les protagonistes. Bien sûr, la plupart des prévenus sont d’abord des toxicomanes.
L’enquête a débuté par un contrôle dans le quartier de la Source à Orléans. Un jeune homme de Château-Renault, Abdelkader Kada, déjà condamné pour trafic de stupéfiants, était surpris à bord d’une voiture pilotée par un autre Tourangeau. Dans le véhicule était saisie une petite quantité d’héroïne. Kada indiquait rapidement aux enquêteurs qu’il était venu se fournir en produits stupéfiants à Orléans – où la drogue était réputée moins chère – pour le compte d’un autre individu, Malik Belghit.
Des écoutes téléphoniques allaient permettre d’identifier plusieurs clients d’Abdelkader Kada, dont une partie était eux-mêmes revendeurs. Le trafic portait sur une grande variété de produits : héroïne, cocaïne, cannabis et même subutex. Thierry Ménardy par exemple avouait à la barre avoir revendu les plaquettes de subutex que son médecin lui avait prescrites pour qu’il se désintoxique. L’homme se piquait à l’héroïne quotidiennement.
La peur des gros bonnets
« Quand je prenais de l’héroïne, expliquait-il, je ne prenais pas le subutex. Donc, je le revendais ». Reste qu’à l’audience, les déclarations des différents protagonistes mettant en cause Kada et Belghit comme étant les principaux dealers se sont fait plus floues. Le procureur de la République, Maud Le Neven, mettait ces revirements sur le compte de la crainte. « On voit bien qui a peur de qui, commentait-elle en démarrant ses réquisitions. Et ceux qu’on désigne comme les plus gros contestent les faits. Alors que les éléments objectifs démontrent clairement leur rôle ».
Les avocats des sept protagonistes ont plaidé une grande partie de la soirée, jeudi, Me Yamba intervenant pour Abdelkader Kada, et Me Esmel pour Malik Belghit.
Plusieurs peines d’emprisonnement ferme ont été prononcées : 2 ans pour Kada (et 1.000 € d’amende), 8 mois pour Thierry Ménardy (1.000 € d’amende) ; 22 mois pour Fabien Guérin (3.000 euros) ; 1 an pour Loïc Mabileau (1.600 €) ; 1 an pour Malik Belghit (800 €) et maintien en détention, 6 mois pour Mickael Dabert (800 €).
Caroline Devos
Source : http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=37&num=1538000
GAP : un trafic de stupéfiants démantelé
6 février 2010
Un trafic de stupéfiant démantelé en début de semaine par la police de Gap. 4 mineurs et un majeur sont soupçonnés par la justice d’avoir alimenté en herbe de cannabis un ou plusieurs élèves de l’établissement privé Saint Joseph à Gap. Deux mineurs ont reconnu les faits, minimisant leurs responsabilités. Les produits stupéfiants étaient destinés à des jeunes à l’extérieur de l’établissement, selon eux.
Deux individus de 16 et 18 ans, considérés comme les têtes pensantes de ce petit trafic ont été interpellés et placés en garde à vue. Les policiers, qui ont procédé à des perquisitions à leurs domiciles, n’ont retrouvé aucune drogue . Ils ont été remis en liberté jeudi.
Les 4 mineurs sont convoqués le 11 mars prochain devant le juge pour enfant. Le jeune majeur comparaitra devant le tribunal correctionnel de Gap le 22 avril.
Source : http://alpesdusud.alpes1.com/infos/infos-locales?id_news=14326
(Lens) EN DIRECT DU TRIBUNAL
6 février 2010
Trois mois de prison ferme pour tentative de vol de cannabis
Ça n’est pas la première fois que le Courriérois Christian Cocq comparaissait devant un tribunal.
Ici, à Béthune, le président Pichoff résume : « Vous avez déjà six mentions au casier judiciaire. Vous êtes actuellement incarcéré à Lille, et votre libération est prévue pour le 17 avril 2011. » L’échéance a été repoussée jeudi. Le jeune homme a en effet écopé de trois mois de prison ferme et le tribunal a décidé de révoquer les six mois de prison avec sursis qui pesaient sur lui. La cause ? Une tentative de vol avec violence.
La victime a d’abord expliqué avoir été agressé pour un paquet de cigarettes. « En fait, c’était pour du cannabis », lâche le prévenu à la barre. L’agression ? « C’était juste pour l’emmerder. » Christian Cocq a, raconte-t-il, sorti un trousseau de clés de sa poche et l’a planté derrière l’oreille de son dealer. Ce dernier n’a pas vu l’objet et a cru à une lame de couteau. « La victime a donné un coup et a pris la fuite », lit le président. Mais peut-on condamner un individu pour avoir tenté de voler un produit illicite ?
« Quel que soit l’objet volé, explique la procureur, c’est le comportement qui est inadmissible. La victime a eu peur.
» Mais pas suffisamment pour que le tribunal fasse droit à la demande de l’avocat de la partie civile qui réclamait la modique somme de 5 000 euros de dommage et intérêt.
(Colmar) Justice – Au tribunal correctionnel
6 février 2010
La montre est arrêtée, son porteur aussi Le 25 août dernier, le détenu en semi-liberté réintègre la maison d’arrêt de Colmar. Il doit se soumettre à la fouille habituelle et un surveillant est alors intrigué par sa montre, arrêtée. Sous le capot de la montre : trois grammes de résine de cannabis. Agé de 22 ans, le jeune homme expliquera les avoir achetés place Rapp à Colmar peu de temps auparavant. Le ministère public avait requis trois mois de prison ferme contre l’habitant de Sainte-Marie-aux-Mines …
Source : http://www.dna.fr/articles/201002/06/justice-au-tribunal-correctionnel,colmar,000002892.php
(Frontière d’Alsace) Bobards à l’italienne
6 février 2010
Les deux prévenus ont d’abord déclaré aux fonctionnaires des douanes qu’ils arrivaient de Bruxelles. Voyage purement touristique, ont-ils affirmé. Mais les douaniers sont rapidement tombés sur des tickets d’hôtel et de casino suggérant qu’ils avaient plutôt séjourné à Amsterdam. En menant leurs investigations sur le véhicule, une Mercedes Vaneo immatriculée en Italie, les enquêteurs ont remarqué que la trappe du réservoir avait été manipulée et que de la mousse avait été disposée au niveau de (…)
Antoine Bonin
Source : http://www.dna.fr/articles/201002/06/bobards-l-italienne,faits-divers,000002869.php
Plénée-Jugon. Le contrôle routier mène au trafic de cannabis (22)
6 février 2010
Le 2février dernier, lors d’un contrôle routier sur l’aire de Carmoran, à Plestan (22), les gendarmes motocyclistes du peloton autoroute de Plénée-Jugon (22) effectuent un dépistage aux stupéfiants sur un conducteur; dépistage qui s’avère positif au cannabis. Dans la foulée, des agents des douanes, présents sur les lieux, découvrent dans le véhicule de ce jeune automobiliste quelques grammes de cannabis appartenant au passager. Une visite aux domiciles des deux garçons, tous deux originaires de Plénée-Jugon, est ensuite effectuée par les douaniers et les motards. Là, ils retrouvent chez l’un 200 grammes de résine de cannabis. Celui-ci explique ensuite, lors de sa garde à vue, se livrer à un trafic depuis le mois de septembre dernier et indique avoir vendu, depuis cette date,3kg. Laissé libre, il sera prochainement jugé par le tribunal correctionnel de Dinan.
Sète Petit trafic de cannabis entre amis
4 février 2010
Deux jeunes de
20 et 22 ans ont été surpris mardi après midi quai d’Alger par la Brigade Anti criminalité. Installés dans une ZX, une procédaient à une étude comparative de leurs produits, à savoir du cannabis. Le premier possédait 8 g, le second 14 g. Ils ont été entendus, puis remis en liberté et seront prochainement convoqués par la justice.
